ON NE NAIT PAS TERRORISTE…, ON LE DEVIENT

Quarante jours et quarante nuits d’atrocités entrecoupées d’une trêve dite humanitaire
suffisent pour faire un constat. Les « terroristes » qui ont exécuté l’opération du 7 octobre
ont déjà fait des petits… Non seulement chez ceux qui ont applaudi cette action qualifiée
d’héroïque mais aussi et surtout à la vue de milliers de victimes innocentes dans cette
enclave « Gazéenne » où l’atrocité, la misère et la promiscuité sévissaient et tuaient déjà
bien avant les premières rafales de la « rave party de la paix »…
« Œil pour œil, dent pour dent » ou « lève-toi et tire le premier » et d’autres écritures
bibliques, s’ajoutant au « droit de se défendre », d’autres locutions adverbiales et
qualificatifs modernes tels que « crime de guerre » ou « crime contre l’humanité » ont une
seule et même conséquence. La naissance de nouveaux terroristes, aujourd’hui, demain et
après-demain.
Des décombres de Khan-Younès, des débris de Jabalia, des couveuses des hôpitaux d’Al
Chifa, de futurs «terroristes» sortiront pour s’ajouter demain aux fœtus des 50. 000 femmes
enceintes dont a parlé Mohammad Dahalan lors d’une interview télévisée afin de constituer
la force palestinienne qu’aucune armée ne pourra affronter à l’avenir.
Israël se trompe dangereusement en faisant croire que l’homme à abattre est le «Hamas »
car il a tant et si bien fait pour que son adversaire d’aujourd’hui soit l’opinion arabe, pour ne
pas dire le peuple arabe dont les contours restent imprécis.
Vaincre ou liquider le « Hamas » c’est quoi ?
Assassiner ses leaders de l’extérieur comme l’annonce le «Shabak » ?
Tuer les cadres de « Hamas » et ses nombreux soutiens palestiniens et arabes ?
Autant de questions sans réponses convaincantes aujourd’hui.
Simple projection sur l’avenir proche et lointain : comment Israël pourrait-il affronter
demain et après-demain les millions de « terroristes » qui se considèrent comme des
combattants purs engagés dans une bataille de survie ?
« This is the question », comme disait l’autre…
E.M.

Baghdad (IraqiNews.com) – The Director General for Studies and Planning at the Iraqi Oil Ministry, Naseer Aziz Jabbar, explained on Monday that energy projects carried out by TotalEnergies in Iraq will be completed in 2028 and 2029, the Iraqi News Agency (INA) reported.
TotalEnergies signed last week a $27 billion energy deal expected to increase oil production and Iraq’s capacity to produce energy through four major oil, gas and renewable energy projects, according to Reuters.
Jabbar illustrated that gas projects will help Iraq produce 300 million cubic feet of gas after the completion of the first phase and will reach a production capacity of 600 million cubic feet after the second phase is completed.
The Iraqi official elaborated that the government’s share in these projects is $1.4 billion.
The first of these projects involves the use of seawater to support oil extraction operations.
The second project is the Gas Growth Integrated Project (GGIP), which aims to improve Iraq’s electricity supply by recovering flared gas at three oilfields and using the gas to supply power plants, helping to reduce the country’s import bill, according to Reuters.
The third project is to develop the Artawi oilfield, which produces one of the best fuels in the region, to increase its production capacity to more than 210,000 barrels per day.
The fourth project is to develop a 1-gigawatt solar power plant to supply southern Iraq with electricity.

EAU AFRIQUE HORIZON 2050

Etude réalisée par Sophie de Bruin pour https://theconversation.com/

Le projet de grand barrage de la Renaissance éthiopienne sur le Nil est entré en service en février 2022. Il a renforcé les tensions entre l'Éthiopie, le Soudan et l'Égypte. Ces trois pays sont les plus dépendants de l'eau du Nil. Le Soudan et l'Égypte considèrent le barrage de 4,6 milliards de dollars comme une menace pour leur approvisionnement vital en eaux. L'Éthiopie le considère comme essentiel à son développement.Ce n'est qu'un exemple parmi d'autres conflits qui peuvent surgir entre des États qui partagent des bassins fluviaux. Et ces conflits risquent fort de devenir plus fréquents avec l'augmentation des températures mondiales.Des centaines de rivières sont partagées entre deux ou plusieurs pays. Le partage des eaux peut être une source de coopération ou de conflit. Cela dépend des conditions économiques, culturelles et institutionnelles. Il dépend également des relations historiques entre les pays.Bien que la coopération l'emporte historiquement sur le conflit et que des conflits internationaux violents à grande échelle n'aient pas eu lieu jusqu'à présent, les tensions autour de l'eau existent depuis longtemps. Elles augmentent dans plusieurs bassins fluviaux.

EN TROIS LANGUES

Certains articles feront l’objet en totalité ou sous forme de résumé d’une lecture en trois langues : français, anglais ou arabe.

TOUTE L’ACTUALITE SECURITE/DEFENSE

FLASHES EXCLUSIVITE TRILOGUENEWS

⚡C’est un général français à la retraite, Guillaume Ancel, qui a donné une fourchette réaliste
des victimes palestiniennes de Gaza, depuis le 7 octobre. Entre vingt et trente mille morts. Il
s’abstient toutefois d’avancer des chiffres sur le nombre de blessés tant la situation est
encore complexe.

⚡Juste avant le voyage-éclair du Président Poutine aux E.A.U. et en Arabie Saoudite, le
commandement de l’armée russe a annoncé le prochain envoi sur les fronts de l’Ukraine de
400 bataillons de combattants qui viendront soutenir les 580 existants plus 1.500 tanks de
type T82 et T90 ainsi que 750 tanks reconditionnés de divers types.

⚡Des responsables civils et militaires américains effectuent des visites successives en Israël
pour étudier avec les dirigeants du pays l’après-guerre, les divers processus pour y parvenir
et aussi des noms de dirigeants palestiniens qui pourraient se substituer ou englober le
Hamas pour gérer l’autorité qui remplacerait le gouvernement de Mahmoud Abbas.

⚡Les noms les plus cités pour diriger la Palestine de l’après-Gaza seraient Toufic Barghouti
(surnommé le Mandela palestinien) toujours dans le geôles israéliennes et Mohammed
Dahalan qui vit depuis plusieurs années à Abou-Dhabi. Il n’est pas exclu, dit-on que le
premier soit président et le deuxième premier ministre. « Ou vice-versa », entend-on
encore dans les milieux bien informés.

⚡ L’ancien émir du Qatar, Hamad Ben Jassem Al Thani, a révélé, dans une déclaration
à la BBC (non encore authentifiée) l’identité d’hommes politiques libanais et syriens
qui auraient touché des montants astronomiques de l’Arabie Saoudite pour renverser
le régime de Bachar Assad. Tout le long de l’insurrection syrienne et de la guerre de
Daech l’ancien chef du gouvernement syrien Rad Hijab et son neveu auraient touché
50 millions de dollars alors que Saad Hariri et l’ancien député libanaise Okab Sakr (à
partir de son bureau dans la ville turque de Gaziantep) auraient encaissé 100 millions
de dollars.

⚡ .Profitant des attaques yéménites contre des cargos appartenant à des hommes
d’affaires israéliens dans la Mer Rouge, des bandes de pirates «indépendants,
apolitiques et incontrôlés » ont tenté d’aborder des navires dans cette même zone.
Mais ils en auraient été empêchés par des patrouilleurs ultra-rapides saoudiens
commandés il y trois ans à l’entreprise « CMN » de Cherbourg et livrés en un temps-
record.

L’ACTUALITE INTERNATIONALE PAR PINTER

Patrick Pinter, dessins de presse

 

IRAK HORIZON 2030/2035

Iraq last month presented an ambitious plan for a $17 billion project to turn itself into a regional transportation hub by developing its road and rail infrastructure, linking Europe with the Middle East. The 1,200-kilometre (745-mile) project known as the 'Route of Development', stretches from the northern border with Turkey to the Gulf in the south. The Iraqi cabinet of Prime Minister Mohamed Shia al-Sudani plans to complete this mega-project within a time span of only three to four years. But the project faces many challenges, including who will finance such a costly project, whether it is feasible for Iraq to spend billions of dollars on it, and how it risks falling into Iraq’s networks of corruption. The project will link Iraq's Grand Faw port by rail to the Mediterranean, with the intention of providing a cost-effective alternative to the Suez Canal.

PRESSE RELEASES ENTREPRISES

AGIR : fondations, initiatives, etc..

NOTRE POSITION : Relayer l’actualité méconnue ou ignorée par les grands médias de ce monde…

« Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique (…) le droit de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. » (Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme, adoptée à Paris le 10 décembre 1948.) Survoler l’actualité et non y coller comme le font déjà plus ou moins bien les sites d’aujourd’hui. La commenter, bien sûr mais sélectivement en tenant compte de trois régions qui nous sont prioritaires, à savoir deux zones concentriques (France et Europe) et une troisième, plus large, l’Orient proche et moyen. Accompagner l’actualité par une étude approfondie d’événements, de situations ou de phénomènes méconnus ou ignorés par les grands médias de ce monde…Vous êtes un média et vous souhaitez publier une information ou un (e) journaliste souhaitant publier un article : CONTACTER LA REDACTION

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