Le pétrole grimpe, l’Irak inquiète

Le cours du pétrole était en hausse, mercredi 29 mars, alors que l’approvisionnement venant du Kurdistan irakien par oléoduc était bloqué.

Le pétrole poursuivait sa hausse mercredi 29 mars, le marché se resserrant avec le blocage de l’approvisionnement en brut en provenance de la région du Kurdistan irakien. Vers 10H10 GMT (12H10 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai prenait 0,86% à 79,33 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, gagnait 1,12% à 73,97 dollars. Les prix du brut restent « soutenus par le fait que les exportations de pétrole depuis le nord de l’Irak restent bloquées », expliquent les analystes de DNB.

La Turquie a cessé d’importer, depuis samedi, du pétrole de la région autonome du Kurdistan irakien par oléoduc à partir du port de Ceyhan, après une décision d’arbitrage en faveur du gouvernement irakien quant à la gestion de ce pétrole. Ces exportations représentent environ 450.000 barils de brut par jour. « Plus l’arrêt se prolonge, plus les perspectives d’approvisionnement se resserrent », souligne Stephen Brennock, de PVM Energy. « Les États-Unis font pression sur l’Irak et la Turquie pour qu’ils redémarrent les exportations de pétrole brut et résolvent le conflit », affirment les analystes de DNB.

Le pétrole poursuivait sa hausse mercredi 29 mars, le marché se resserrant avec le blocage de l’approvisionnement en brut en provenance de la région du Kurdistan irakien. Vers 10H10 GMT (12H10 à Paris), le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai prenait 0,86% à 79,33 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, gagnait 1,12% à 73,97 dollars. Les prix du brut restent « soutenus par le fait que les exportations de pétrole depuis le nord de l’Irak restent bloquées », expliquent les analystes de DNB.

La Turquie a cessé d’importer, depuis samedi, du pétrole de la région autonome du Kurdistan irakien par oléoduc à partir du port de Ceyhan, après une décision d’arbitrage en faveur du gouvernement irakien quant à la gestion de ce pétrole. Ces exportations représentent environ 450.000 barils de brut par jour. « Plus l’arrêt se prolonge, plus les perspectives d’approvisionnement se resserrent », souligne Stephen Brennock, de PVM Energy. « Les États-Unis font pression sur l’Irak et la Turquie pour qu’ils redémarrent les exportations de pétrole brut et résolvent le conflit », affirment les analystes de DNB.