Les efforts salutaires d’Emmanuel Macron pour régler la Question d’Orient

Portée par un raz de marée dont la mer garde la mémoire, la France apportait aux Libanais la lumière que le pays attendait.

La Question d’Orient n’a jamais été réglée, de Vienne (1683) à Vienne (2022). Les efforts du Président français notamment au Liban vont clairement dans le bon sens, comme en témoignent ses dernières déclarations à Élie Masboungi, président de l’Association de la presse étrangère (APE). « …Il faut désormais, dit-il, que les négociations directes reprennent et que l’Iran fasse sa part du chemin pour saisir, tant qu’il en est encore temps, l’opportunité qui lui est offerte de revenir au JCPOA (l’accord de 2015 sur le nucléaire).

Un article de Xavier Houzel

Xavier Houzel

 Quand le président de la République Française, Emmanuel Macron, était accouru à Beyrouth après l’explosion des silos du port, il était la France qu’on aime dans un souffle. La France venait leur restituer une œuvre d’art immémoriale héritée du mandat, la Foi, la confiance en soi, le goût de l’espérance. On a fait ensuite d’Emmanuel Macron le bouc-émissaire émissaire des défauts de son administration : un fait désormais avéré est bien que la classe politique libanaise est un âne fourbe et qui n’a pas soif.

Après deux ans et une réélection à la tête de la France, le président Macron fait le point dans un entretien accordé à Élie Masboungi, président de l’Association de la presse étrangère (APE) et correspondant à Paris du quotidien libanais L’Orient-Le jour. Alors que le monde titube de crise en crise – pas seulement en Ukraine – quelques phrases résument dans cette interview la position française.

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