LE MONDE : En Iran, une dégradation continue des droits humains

A protester holds onto a noose during a demonstration organised by supporters of the National Council of Resistance of Iran (NCRI) to protest against the inaugeration of Iran's new president Ebrahim Raisi outside Downing Street in cental London on August 5, 2021. - Supporters of the Iranian opposition coalition National Council of Resistance of Iran (NCRI) demonstrated in the British capital to oppose the new Iranian President Ebrahim Raisi whom they accuse of being responsible for the mass execution of thousands of NCRI members in 1988. The NCRI also called for the UK government to impose sanctions against Iran's leadership. (Photo by Adrian DENNIS / AFP)

Les exécutions de condamnés mineurs au moment des faits se poursuivent et la répression des militants qui critiquent la République islamique s’accroît.

Le monde

Arman Abdolali a été pendu le 24 novembre 2021 sans que ses parents aient pu lui dire au revoir. L’exécution du jeune Iranien a créé une vague d’indignation parmi les organisations de défense des droits humains, mais aussi sur les réseaux sociaux, car il a été condamné à mort pour un fait survenu alors qu’il n’avait que 17 ans. L’homme en avait 25 au moment de sa mort. La République islamique d’Iran a l’un des taux les plus élevés au monde d’exécutions de personnes mineures au moment des faits qui leur sont reprochés.  LIEN VERS L’ARTICLE