Tandis que les conteneurs continuaient de s’entasser l’an passé, en pleine accélération de la reprise après des mois d’arrêts liés au Covid, les armateurs ont vu les prix de leurs services s’envoler. En un an, le groupe marseillais a ainsi multiplié par dix son bénéfice net. Une performance qui vient égaler de manière inédite celle du groupe d’énergies français. Aussi, sa dette nette a été réduite de 9,2 milliards de dollars, pour finir l’année à 7,7 milliards.
Qu’un groupe pétrolier français tel TotalEnergies engrange des profits jamais vus depuis au moins 15 ans l’an passé, portés par la reprise fulgurante post-Covid, est déjà une performance. LIEN VERS L’ARTICLE