Je reprends ma plume… et mon papier paru il y a quelques semaines dénonçant les frasques d’un banquier-playboy libanais, ancien partenaire de la Société Générale qui affirme avoir rompu ses accords avec alors que les frontons de ses établissements à Beyrouth et en province portent encore, à une lettre près les logos et couleurs de la prestigieuse banque française. Alors que les déposants de sa banque libanaise (S.G.B.L.), filiale dénoncée et poursuivie par sa maison-mère française (La Société Générale) et que trois mandats sont émis contre lui au Liban, le banquier-playboy (installé sans être résident) en France continue à faire parler de lui sur le petit écran et dans le grand monde. Sur une chaîne arabophone (voir vidéo ci-jointe) Talal Abou-Ghazaleh, grand homme d’affaires jordano-palestinien qui dirige un grand réseau de bureaux d’audit dans les pays arabes et dans le monde, affirmé qu’il a intenté des procès au Liban, en Jordanie |
– siège social de son entreprise – en France et dans d’autres pays pour tenter de récupérer quarante millions de dollars bloqués à la SGBL de Beyrouth. « L’argent des déposants ne s’évapore pas », a affirmé M. Abou-Ghazaleh, il se trouve à la SGBL par le fait d’une conspiration menée par les banques, la banque centrale libanaise et le gouvernement libanais ». Il a indiqué que la saisie est actuellement effective et que ces 40 millions appartiennent aux actionnaires de son entreprise précisant que la Société Générale en France a rompu ses liens avec son ancienne filiale libanaise. Après avoir financé un film pour les beaux yeux de Julie Gayet, le banquier-playboy a invité récemment la petite fille de Jean-Paul Belmondo à une virée en Egypte à bord d’un avion privé pour découvrir sur place des vestiges pharaoniques dont elle a parlé devant lui lors d’une réception mondaine. Ainsi se dépense et se dilapide en France l’argent des déposants d’une filiale (ou ex-filiale) d’une des banques les plus prestigieuses de l’hexagone. |