Au plus fort de l’état de mobilisation et des préparatifs sécuritaires sionistes sur plus d’un front, l’ennemi éprouve la crainte et l’anxiété. Il ressent la terreur au moindre mouvement qui se produit à la frontière de la Palestine occupée.
C’est ce qui s’est passé, il y a deux jours, lorsque l’ennemi a activé les sirènes d’urgence dans plusieurs colonies du nord. Il a tiré des missiles du «Dôme de fer» et appelé les colons à se rendre dans les abris. Ainsi, la réputation de son armée a été ternie. La cause ? Un drone suspecté hostile, qui s’est avéré, plus tard, relevant des forces israéliennes.
Ce modèle d’échec soulève de grandes questions sur l’état de préparation de l’armée sioniste dans toute guerre future, surtout si elle entre dans une confrontation multipolaire qui l’assiège du sud, du nord, de la terre et de la mer, avec la possibilité de lancement de missiles à plusieurs portées, et un grand nombre de drones en même temps. Comment les forces ennemies réagiront-elles à un tel scénario, ces forces ayant échoué à abattre un avion de reconnaissance, qui s’est finalement avéré appartenir à ses propres forces aériennes ?
On pense immédiatement au drone baptisé «Hassan», lancé par le Hezbollah en février dernier, qui a franchi toutes les mesures et fortifications de l’ennemi, et atteint la mer de la Galilée dans les profondeurs des territoires occupés, sans être touché par les tirs du Dôme ou les missiles qui le pourchassaient, puis il retourna à sa base, au Liban, en toute sécurité. LIEN VERS L’ARTICLE