
Trop, c’est trop – Même si Rupert Murdoch, le propriétaire du journal américain (et de Fox News) a soutenu Trump durant la campagne, il considère que le président a franchi une ligne rouge en s’attaquant à Zelensky.
« Ça, c’est un dictateur », écrit le quotidien détenu par Rupert Murdoch (et donc dans le même empire médiatique que Fox News), avec une photo portrait de Vladimir Poutine.
Un message en réponse aux violentes attaques menées ces derniers jours par Donald Trump envers le président ukrainien, Volodymyr Zelensky. Espérant voir la guerre en Ukraine s’achever au plus vite, le locataire de la Maison-Blanche n’a cessé de se rapprocher de la Russie et a traité le leader ukrainien de « dictateur sans élection », sous-entendant par ailleurs qu’il était responsable du déclenchement des hostilités.
Les « vérités » qui dérangent
Avec cette phrase en tête, on comprend donc le titre du Post qui dit clairement à Donald Trump « Non, Zelensky n’est pas un dictateur, mais en voici un vrai : Vladimir Poutine ».
Le journal accompagne cette couverture, dans ses pages, des « 10 autres vérités sur la guerre en Ukraine que l’Amérique ignore » et qui pourraient s’avérer périlleuses. On espère que le président américain a lu la presse ce vendredi.

L’apparente renaissance du titre 42 survient alors que la répression généralisée de Trump contre les migrants illégaux — est une promesse électorale clé — qui continue de se dérouler et que l’immigration et les douanes sont confrontées à une pression croissante de la part de la Maison Blanche se ramper arrestations et expulsions de migrants.
On ne savait pas comment la mesure prévue basée sur la santé fonctionnerait parallèlement aux autres politiques frontalières de Trump.
Pendant ce temps, le nombre de rencontres de migrants à la frontière a considérablement diminué depuis le retour de Trump à la Maison Blanche
Plus tôt ce mois-ci, seuls 396 migrants illégaux ont été rencontrés dans les sections autrefois en difficulté d’El Paso, de la vallée du Rio Grande, de Laredo, de Del Rio et de Big Bend, à la frontière sud-ouest, le 5 février.
Del Rio à lui seul assistait à des milliers de passages illégaux par jour sous l’administration Biden —, y compris une hausse en septembre 2021, alors que plus de 14 000 migrants haïtiens apparu à la frontière en quelques jours.