
Une semaine après avoir pris le contrôle du réseau social à l’oiseau bleu, le milliardaire sud-africain lui a fait subir une thérapie de choc en coupant la moitié des effectifs sans préavis.
“La confusion et la frustration règnent” à Twitter, titre le New York Times, peu après que le réseau social a vu la moitié de ses employés – soit environ 3 700 personnes sur 7 500 – être brutalement licenciés vendredi 4 novembre.
“Lorsque la hache s’est abattue […], elle n’est pas tombée en douceur”, remarque le quotidien new-yorkais. La plupart des salariés limogés n’ont ainsi “reçu aucune notification préalable”, et ont seulement constaté, en voulant se connecter à leurs messageries professionnelles, que celles-ci étaient désactivées.