Le célèbre égyptologue Zahi Hawas fait le point sur différentes phases de sa vie professionnelle et souligne l’importance des festivités organisées pour la promotion du tourisme en Egypte. Entretien.
Al-Ahram Hebdo : Dans votre nouvel ouvrage, Al-Hares (le gardien), vous avez mentionné plusieurs stations de votre vie. Quelle est la plus remarquable ?
Zahi Hawas: Chaque partie de mon livre retrace d’une façon détaillée une phase importante dans ma vie. Par cet ouvrage, j’ai voulu montrer aux nouvelles générations comment un élève aussi paresseux que moi peut un jour devenir célèbre comme les stars du cinéma. J’ai raconté aussi mon expérience quand j’étais à la tête du Conseil Suprême des Antiquités (CSA) et ministre des Antiquités. J’ai de même parlé des importantes découvertes que j’avais réalisées, en plus des 6 000 pièces que j’ai réussi à restituer, ainsi que les 22 musées que j’ai commencé à ériger sans pouvoir les inaugurer tous, comme celui des crocodiles à Kom Ombo ou celui du Canal de Suez. LIEN VERS L’ARTICLE