NOUVEAU SYSTEME DE SURVEILLANCE ET DE SUIVI CARDIAQUE

WP1-Orient le JourA la conférence mensuelle de la HALFA : ZIAD SANKARI,  UN JEUNE INVENTEUR ETABLI AUX USA,  A PRESENTE UN NOUVEAU SYSTEME DE SURVEILLANCE ET DE SUIVI CARDIAQUE

IMG_1054La HALFA (association d’hommes d’affaires libanais et français) a accueilli, pour sa conférence mensuelle, le jeune entrepreneur  Ziad  Sankari  (trente ans) qui a créé aux USA un système de surveillance cardiaque à distance et qui lui a valu d’être reçu et félicité par le Président  Barack Obama.

Originaire de Tripoli, qu’il vient de visiter pour y installer une antenne de son entreprise avec des jeunes de son âge, hautement qualifiés, Ziad Sankari a présenté  sa « success story » la semaine dernière à l’hôtel  « Renaissance » de l’avenue Raymond Poincaré devant une centaine de personnalités françaises et libanaises dont des médecins et des scientifiques. Il a été présenté à l’assistance par M. Antoine Menassa, président de la HALFA.

« Cette success story » n’est pas encore accomplie mais est en cours de réalisation a dit notamment  dit ce diplômé en génie médical et informatique de l’université  de l’Ohio qui a indiqué qu’avec trois autres jeunes Libanais il avait déjà lancé et vendu une start-up dans ce même domaine, ce qui  lui a permis de lancer son projet actuel.

En même temps qu’il procédait à sa présentation tableaux et photos à l’appui, Ziad Sankari a lancé un appel à la nouvelle génération libanaise de ne compter que sur elle-même et de ne rien demander aux autorités du pays ajoutant que c’est la un acte de foi et une preuve que le Liban peut survivre pas ses forces vives et par le génie créateur de ses fils, qu’ils soient au Liban ou établis aux quatre coins du monde.

A l’heure de questions-réponses, l’inventeur a donné des précisions techniques sur son système, répondant notamment à des médecins présents. Il a souligné l’originalité de cette invention et expliqué qu’elle se distingue des autres projets  concurrents par la rapidité de la transmission des informations médicales par le moyen d’un petit appareil qui se porte comme un objet personnel.

Il transmet en temps réel les signaux cardiaques qui permettent une réaction et éventuellement des interventions en un temps record. Il a conclu que cela est possible au Liban malgré les carences aux niveaux de télécommunications, de l’énergie et d’autres services publics.