Des cercles diplomatiques qui suivent de près la situation en Libye estiment qu’une résolution demandant le retrait des groupements armés étrangers se trouvant dans le pays serait d’autant plus difficile que cette présence s’est renforcée progressivement avec l’arrivée de terroristes de « Daech » de Syrie, d’Irak et de Tunisie. Ces cercles estiment à plus de six mille le nombre de combattants clandestins répartis sur le territoire libyen dont un millier venus du Liban à bord d’embarcations de migrants ou par leurs propres moyens après des séjours à Tripoli(Liban) ou dans des camps palestiniens de la côte, après avoir traversé à pied la frontière syro-libanaise.
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