L’édito du 20 février 2019 : TERRORISME, FRAPPER AVANT D’ETRE FRAPPE

Par Elias MASBOUNGI

Terrorisme :

FRAPPER AVANT D’ETRE FRAPPE

Le retrait du contingent américain de Syrie pose non seulement un gros problème sur place mais aussi en Europe où un gros danger guette les pays ayant le plus de combattants « daeshistes »  sur le terrain et dont plusieurs centaines sont détenus par les FDS, alliés des USA et bien entendu hostiles au régime syrien.

En France, en Allemagne, en Belgique et dans d’autres pays fournisseurs de « soldats de  l’islam », une grande inquiétude règne d’autant que l’Europe est encore loin de parvenir à une position minimale face à ce problème.

Si demain, comme l’annonce Donald Trump, les GI’s quittaient le Syrie et que ces bandes de tueurs étaient lâchés dans la nature avec armes, femmes et enfants, l’Europe toute entière serait menacée ainsi que que la Tunisie et 

le Maroc qui, eux n’ont aucun problème de conscience pour « neutraliser » tout élément suspect revenant au pays après son « Jihad ».

Pour la France et l’Europe gardiennes des Droits de l’Homme et des libertés, il est urgent de trouver ensemble ou séparément une base qui protégerait leurs peuples d’une reprise des crimes terroristes sur leurs territoires.

Faire la distinction entre les ces terroristes et leurs familles ne met  personne à l’abri d’une propagation du virus que pourraient porter les épouses et progénitures des « combattants »… A savoir, le devoir d’islamiser le monde par le feu et le sang.

Avec ou sans Bruxelles et Strasbourg où la fièvre électorale gagne les esprits, il est urgent de prendre les mesures qui s’imposent.

Quitte à heurter les militants des libertés et des droits humains…

En somme, frapper avant d’être frappé.

Et avant qu’il ne soit trop tard….