Et si vous financiez le terrorisme à vote insu? Le commerce d’objets d’art, les cagnottes en ligne, la contrefaçon, les crédits à la consommation et même l’achat de chocolat se révèlent autant de canaux insoupçonnés par lesquels les organisations terrorists financent leurs projets.
Commettre un attentat coûte de moins en moins cher: face à ce terrorisme low cost, seule la surveillance des signaux fables permet de repérer les opérations atypiques et de remonter jusqu’aux réseaux organisés. Endiguer ce phénomène mouvant et opportunist exige une lutte acharnée contre la fraude, l’évasion fiscale et le blanchiment d’argent. Au terme d’une longue enquête, Nathalie Goulet passe en revue les principaux stratagèmes financiers utilisés par les terroristes et les outils dont les nations disposent pour les combattre. LIEN POUR PLUS D’INFORMATIONS