« Le temps des discours est révolu face à cette catastrophe humanitaire. L’important est désormais de passer aux actes »
Cette déclaration sur Gasza n’est pas celle d’un responsable arabe ou «arabo-musulman». Elle porte la signature de Manuel Albares Bueno, ministre espagnol des Affaires étrangères qui répondait au quotidien français « Le Monde».
Le chef de la diplomatie ibérique va plus loin que tous ses homologues européens ajoutant à propos de la solution des deux États : «On aurait pu faire plus, plus tôt »…
Honte aux super-diplomates et autres négociateurs arabes qui ont déjà fait plusieurs fois le tour des chancelleries et…e la terre pour plaider la « cause sacrée »de la Palestine et défendre les droits d’un peuple qui leur donne tous les jours des leçons de courage et de patriotisme par sa lutte pour la liberté.
Il faudra donc aller plus loin que les joutes oratoires et les slogans pour oser prendre des décisions et passer aux actes.
Qui, quand et comment ?
N’importe quel responsable des pays-frères, maintenant et par tous les moyens dont il dispose.
Si on nous rétorque qu’on n’en a pas les moyens, que l’on se taise.
E.M.