Ici Beyrouth : Nucléaire iranien: la Russie entre en jeu

Le chef de l'AIEA Rafael Grossi lors de sa rencontre samedi avec le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, à Téhéran. (AFP)

Voilà ce qui peut paraître une première réaction russe aux sanctions occidentales. Alors que les parties participantes aux négociations sur le nucléaire iranien espéraient un accord imminent, la Russie a formulé hier des exigences qui pourraient retarder encore plus les négociations en cours à Vienne.

La Russie est en effet un signataire principal de l’accord dit  » JCPOA « , mais c’était la Russie d’avant, pas celle d’aujourd’hui, soumise à des sanctions inédites de la plupart des Occidentaux…

L’Iran et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) sont convenus d’un mécanisme pour régler des questions en suspens, mais des exigences formulées samedi par la Russie pourraient retarder un succès des négociations visant à sauver l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien. LIEN VERS L’ARTICLE