⚡ Une récente déclaration

de la porte-parole du Quai d’Orsay et des échos rapportés par le leader des « Kataëb » M. Salmi Gemayel – qui vient d’effectuer une visite à Paris – permettent de croire que le soutien de la France à la candidature de M. SleimanFrangié à la présidence de la république libanaise est en « perte de vitesse » du fait que rien de fait croire que Téhéran s’engagera à réduire l’influence politique et militaire du Hezbollah au Liban si le leader de Zghorta était élu.