Cherchons autocrate… éclairé ou à éclairer. Un centenaire +2… pour arriver à simulacre de république même pas bananière… n’en ayant ni le goût ni l’agrément. Sans vouloir offenser les bonnes, honnêtes et naïves gens, il est temps d’appeler une tribu une tribu… et une mafia une mafia… En un siècle et parfois, juste en quelques décades, des peuples ont pu bâtir des Etats avec des économies championnes, des PIB « médaille d’or » sur des territoires pas plus vastes que le caza de Jbeil. D’autres ont renversé empires et super-puissances dits invincibles avec un minimum de solidarité et beaucoup d’unité. Pour être clair et parler net, les « peuples libanais » héritiers des « millet » légués par l’empire ottoman n’ont établi sur cette terre « bénie des dieux » qu’un ersatz d’Etat. On peut aujourd’hui l’affirmer haut et fort, quitte à choquer les naïfs et les hypocrites.
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En un siècle nous avons, crédules, indifférents ou passifs, accumulé des insurrections absurdes guerres « inciviles », renversant au nom d’une fausse liberté la seule et unique tentative de création d’un Etat moderne doté de structures dignes de ce nom. Un quarteron de politicards a mis à terre l’unique entreprise menant à l’édification d’une patrie.
Pour relancer ce chantier, pourquoi pas une « Loya Jurga ».… maintenant et sans plus tarder. Pour trouver l’homme et l’équipe providentiels. L’autocrate éclairé… ou à éclairer.
*** « Je suis tombé par terre, c’est la faute à Voltaire. Le nez dans le ruisseau, c’est la faute à Rousseau » (Les Misérables, Victor Hugo). Chercher la faute et aussi… le fautif. Et c’est toujours et bien sûr l’autre… Notre nouvelle guerre de cent ans va commencer. Mais, comme nous l’avons déjà écrit ici-même, le train de l’Histoire passe une fois… |