Des pourparlers, une négociation et une solution face à un miroir…
Avec d’un côté les anciens mandataires du Levant requinqués par l’Oncle Sam-Trump affublés de dirigeants arabes héritiers de la Déclaration Balfour et témoins de la Nakba de 1948. Et de l’autre côté le vide aveuglant d’un miroir sans tain.
Le tandem Trump-Netanyahou et leurs faux témoins arabe ont réglé le problème de Gaza sans le Hamas, ni les Gazaouis et autres Palestiniens. Avec un dispositif à gérer par le britannique Tony Blair.
De quoi nous rappeler les 200 cessez-le-feu, trêves et accords de paix de la guerre civile libanaise de 1976-1980 restés sur le papier ; tout comme d’autres vains efforts pacificateurs d’hommes de bonne volonté.
En toile de fond un Israël sécurisé, “fier de lui et dominateur” des voisins arabes affaiblis ou consentants et une alliance irano-yéménite frustrée mais aguerrie.
Il reste que la cause grande et indéfectible ne sera jamais réglée sans ceux qui la portent à travers les générations rendant toute solution impossible sans sagesse et réalisme.
Et il faudra alors remplacer le miroir par un cadre adapté et bien transparent.
Mais avec les mille et un conflits dans la région et ailleurs ce n’est pas demain qu’on pourra faire trempette sur les rives de « Bibiland » .
E.M.