G20 de Riyad : Déclaration finale commune des chefs d’État et de gouvernement du G20

Service de Presse de l'Elysée : G20 de Riyad, déclaration finale communeLe G20 de Riyad s’achève avec des engagements concrets pour le climat, pour un accès équitable aux vaccins et pour la lutte contre les inégalités. Un front européen uni et une détermination de la France ont rendu possibles ces avancées.

Palais de l’Elysée, le dimanche 22 novembre 2020

1. Nous, chefs d’État et de gouvernement du G20, réunis pour la seconde fois sous présidence saoudienne, partageons la conviction que la concertation internationale, la solidarité et la coopération multilatérale sont aujourd’hui plus nécessaires que jamais pour relever les défis actuels et permettre à tous de bénéficier des chances qu’offre le XXIe siècle en autonomisant la population, en préservant la planète et en traçant de nouvelles frontières. Nous sommes déterminés à bâtir un monde plus fort, plus durable, plus équilibré et plus solidaire après la
crise de la COVID-19.

A. Ensemble, être à la hauteur des enjeux
2. La pandémie de COVID-19 et ses effets inédits en termes de pertes de vies humaines et de répercussions sur les moyens de subsistance et les économies constituent un choc sans précédent qui a mis en évidence les lacunes de notre état de préparation et de notre réponse et souligné les problèmes communs à tous nos pays. Nous réaffirmons les engagements pris lors du sommet extraordinaire du 26 mars, nous nous félicitons des progrès accomplis depuis et nous continuerons de déployer tous les efforts possibles pour protéger les vies humaines, apporter une aide en particulier aux plus vulnérables et remettre nos économies sur la trajectoire de la croissance, ainsi que de la protection et de la création d’emplois pour tous. Nous exprimons notre gratitude et notre soutien à tout le personnel de santé et aux autres travailleurs qui sont en première ligne alors que nous poursuivons notre combat contre la pandémie. Nous demeurons déterminés à soutenir l’ensemble des pays en développement et des pays les moins avancés, confrontés aux effets sanitaires, économiques et sociaux concurrents de la COVID-19, et nous sommes conscients des difficultés particulières qui pèsent sur l’Afrique et les petit États insulaires en développement.

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