Le 28 mai à l’Olympia : « ALEPH » OU LE MIRACLE DU PIANO DE L’ORIENT
Dès son plus jeune âge, à trois ans déjà, Fadi Abi Saad a fait une touche avec les blanches et les noires du mythique clavier et voilà qu’avec son nom de scène, « Aleph », il gravit aujourd’hui les marches de l’Olympia pour y donner le 28 mai un concert unique intitulé « Le Piano de l’Orient ».
Le pari était d’apprivoiser le roi des instruments pour en sortir les plus belles mélodies de l’Orient et, au-delà, prouver que le piano pouvait tout donner.
Accompagné de 16 musiciens, Aleph le compositeur-arrangeur relèvera ce défi grâce à sa maîtrise le clavier et à la magie des alliages qui en sortiront.
C’est donc l’Orient qui s’exprimera en phrasé occidental et les demi-tons qui en sortiront.
La légendaire scène de l’Olympia, il la partagera avec 16 talents dont son compatriote Marc Hatem, la révélation de « The Voice », le virtuose percussionniste Bandolero, la chaude voix jazz-manouche de Dia, le guitariste multidisciplinaire Elias Al Rahbani, le maître du « Kanoun, Kanj, la flûte enchantée devenue naï de Raed Bou Kamel et de Yasmina Ramia, Antoine Serrano, Charly Fadel, Diego Galaz, Gass-le-batteur, le bassiste Labex, le chanteur andalou Ramzi Boukamel et le contrebassiste cubain Yelsy Heredia.
Un mélange détonnant qui vaut largement le détour.
Côté organisation, Bouchra Al Mir qui a « osé » présenter le dossier dans les murs de Bruno Coquatrix et une équipe de bénévoles qui a su, par ailleurs, mobiliser les associations libanaises de l’hexagone et les réseaux sociaux franco-libanais.
Fadi et Bouchra ne doutent pas d’un remplissage-record qui dépassera les 1500 places en sus des strapontins à bas prix pour les jeunes.
Rendez-vous donc ce dernier samedi de mai pour une grande nuit parisienne à la croisée de l’Orient et de l’Occident.